Le silence de ses mots
Engendrerait-il le bruit d’un sanglot
Ruisselant sur ses joues sans cesse
Ô déesse
Ô déesse
L'apparence de ses maux
Déguiserait-elle l’ombre d’un noir manteau
Descendant jusqu’à ses chevilles
Ô jolie fille
Sa mélancolie aussi bien à midi
Où à minuit
Sonne
Le long de son cœur qui frissonne
Sous le vent de ses frontières
Visibles ou imaginaires
Sous le chapeau de quelques oronges
Son âme songe
A ses sentiments profonds
A la libération
D'un je t'aime
Toi et moi-même
A ses sentiments profonds
A la libération
D'un je t'aime
Toi et moi-même