Le silence de ses mots
Engendrerait-il le bruit d’un sanglot
Ruisselant sur ses joues sans cesse
Ô déesse
Ô déesse
L'apparence de ses maux
Déguiserait-elle l’ombre d’un noir manteau
Descendant jusqu’à ses chevilles
Ô jolie fille
Sa mélancolie aussi bien à midi
Où à minuit
Sonne
Le long de son cœur qui frissonne
Sous le vent de ses frontières
Visibles ou imaginaires
Sous le chapeau de quelques oronges
Son âme songe
A ses sentiments profonds
A la libération
D'un je t'aime
Toi et moi-même
A ses sentiments profonds
A la libération
D'un je t'aime
Toi et moi-même
joliment écrit, ta plume file aisément...
RépondreSupprimerMerci... Un poème d'amour et d'amitié que je voulais universel.
RépondreSupprimerA plus
James Px.
Bien joli poème aussi léger qu'un oiseau
RépondreSupprimerune respiration profonde en bordure de l'Amour
un regard gracieux et sensible sur l'autre...
j'aime beaucoup
merci.
Merci pour votre message ! A plus
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